martedì 23 marzo 2010

pleiadi


les mots enroulaient l'amour
enlaçaient l'envie de deux amants
de cette passion charnelle
le silence a convaincu le coeur que l'amour était bien present


je ne suis plus rien dans le desert
de ton univers
les sillages ont beau faire
je ne ne suis qu'une épave a brader
sans le sablier de ton temps

je suis juste une chienne aboyant sur le pavé


poesia de elisabeth vaury

1 commento:

  1. tu m'as gonflé ces dernièrs soirs
    avec ton vague regard fêlé
    mais ça va bien
    tu es de celles qui rompt le style
    gravé au fond de mes pensées
    je t'ai souvent priée comme une déesse
    te supliant d'être mon île
    de me donner de la tendresse
    alors que je t'ai souvent blessée
    dans mes amours incensés
    mais ça va bien
    viens te blottir au fond de mes veines
    ivres et camées
    mais ça va bien
    pénétre dans mes veines
    ___________________________________________

    rappelle que tout les hommes sont futiles quant ils oublies de ne flinguer

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