venerdì 2 luglio 2010

Lui sous la pluie













Lui sous la pluie
D'un hivers sans voie
Lui qui poursuit
Son puzzle déglingué
Lui dans sa nuit
Lui qui détruit
Son ombre inachevée

voudrait voir une seule fois le soleil une seule fois son bras atteindre la lune

mais c'est perdu
Sous le joug des terriens

Réservés aux pingouins

A la marée sans Lune
En venant féconder
Le ventre des lagunes
et ses corps écorchés
S'immolaient aux vagues blessées
A la marée sans Lune

Sous les embruns glacés
D'une chambre fréquenter
par les miroirs autochtones
lui reste et survis
Sans doute par élégance
Peut-être par courtoisie
surement par arrogance

poeme de elisabeth vaury


5 commenti:

  1. Tu pourra mieux traduire
    c'est pas facile sue mon blog
    ______________________________________________
    Dans ce monde infréquentable, il vaut mieux aller auprès d'un phare
    quoi que je fasse

    j'ai toujours cette impression de vous faire mal

    a lui, a vous ,a toi

    et vice et versa

    pourquoi?

    faut il encore que je raconte qu'il faut boire par soif

    j'en ai trop vue des noyés dans la mer a vagues

    Allons auprès d'un phare

    pour oublier nos larmes

    d'un monde infréquentable

    ou personne ne regarde a l'endroit

    apport donnons pour mieux voir

    sans pour autant vouloir

    sans pour autant tout vouloir

    juste se voir

    Moi quand j'étais bébé

    déjà j 'ai appris a être grande et même sans lait

    j'avais pas le droit

    ceci explique peut-être pourquoi la peur je connais pas

    et surement aussi

    que ma seule loi

    est ma foi

    en lui ,en vous ,en toi

    et vice et versa

    apport donnons pour mieux voir

    sans pour autant vouloir

    sans pour autant tout vouloir.....
    ______________________________________
    un Baiser

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  2. Brava ,Elisabeth !
    Condivido il tuo sentire....ossia il mondo d'oggi infrequentabile.
    Tuttavia occorre che ciascuno di noi intraveda un sentiero, un viottolo, una stradina....
    La tua POESIA, ad esempio.
    L'ARTE per Maurizio.
    E così un po' per tutti noi.
    Un abbraccio.
    Marianna

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  3. Straordinarie come sempre le tue figure femminili, carissimo Maurizio!
    La loro sofferenza traspare anche per chi è un osservatore distratto...
    La scelta dei colori come sempre molto indovinata...dalla solarità alla mortificazione.Proprio come,quasi sempre, per non dire sempre, è il destino della "PERSONA", di ognuno di noi, dell'essere nel mondo!
    Le "tue donne" piacciono, sono bellissime, perché siamo tutti noi.
    Perché non bleffano.
    Sono autentiche.
    Grazie dei tuoi doni.
    Un abbraccio e un bacio tenero.
    Marianna

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  4. Pardon Mariana
    je viens de voir ton commentaire
    UN GRAND MERCI
    ET UN BISOU AMIE

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